L'ONG a recueilli de nombreux témoignages de TN
Pas Cher migrants sur des violences infligées par les forces de l'ordre. Elle dénonce le «harcèlement» et les «exactions de la part de la police française».
L'accusation est lourde, mais fiable selon Human Rights Watch. L'ONG publie mardi un rapport à charge contre des exactions qu'aurait commises la police française envers les migrants présents à Calais. Passages à tabac et violences gratuites seraient le quotidien de nombre d'entre eux, d'après une série d'interviews menées par l'ONG.
Entre novembre et décembre, une chercheuse de Human Rights Watch a rencontré quarante-quatre migrants, dont trois mineurs, Sac a main pour des «entretiens longs» et en groupes. Parmi eux, «dix-neuf personnes, dont deux enfants, ont déclaré que la police les avait maltraitées au moins une fois, notamment par le biais de passages à tabac», relate l'ONG. Huit des personnes rencontrées ont souffert de membres fracturés ou «d'autres blessures visibles», qui ont été causées par la police, selon leurs déclarations. Vingt et un autres migrants, dont deux mineurs, auraient été aspergés de gaz lacrymogène.
Blessures visibles
Les interventions musclées de la police pour empêcher les migrants de monter dans des camions ou d'accéder à des ferries se sont succédé aux mois d'octobre et novembre, lorsque la tension s'est accrue dans la ville, où le nombre de migrants a fortement augmenté en 2014. Cette fois cependant, les témoignages recueillis par l'ONG mettent en cause des violences policières commises sans raison particulière, hors de toute tentative d'évacuation ou de maintien de l'ordre. Rosa, migrante érythréenne de 25 ans, Nike
Requin affirme ainsi avoir été battue par des policiers lorsqu'ils l'ont trouvée dans un camion. Lorsque Human Rights Watch l'a rencontrée, elle était.
vendredi 23 janvier 2015
Les frères Kouachi : des enfants heureux l'été à la Grande Motte
Au début des années 1990, les Air
Max 90 frères Kouachi passaient leurs étés au bord de la Méditerranée et étaient de «bons enfants», selon leur éducatrice de l'époque.
La presse étrangère enquête massivement sur les attaques qui ont frappé la France entre le 7 et le 9 janvier. Alors que le New York Times a publié une vaste investigation sur l'itinéraire des frères Kouachi, auteurs de l'attaque à Charlie Hebdo, ces dix dernières années, Der Spiegel, qui a dépêché en France onze reporters, a retrouvé l'éducatrice qui s'est occupée des frères Kouachi durant plus de six ans entre 1994 et 2000 en Corrèze. L'hebdomadaire allemand publie des photos de leur jeunesse, et notamment un cliché de vacances à La Grande Motte.
La photo a été prise durant l'été 1994. Chérif et Saïd Kouachi sont alors âgés respectivement de 12 et 14 ans et ont une mère malade. Ils sont envoyés en Corrèze, au Centre des Monédières, tn pas cher un centre d'accueil financé par la Fondation Claude Pompidou. Ce centre deviendra leur seul foyer lorsque leur mère mourra (leur père est décédé quelques années auparavant). C'est dans le cadre de ce centre qu'ils sont allés passer des vacances au bord de la Méditerranée. Le Spiegel a retrouvé «Suzanne» qui a été leur éducatrice référente durant de nombreuses années. Elle raconte à l'hebdomadaire allemand avoir tout d'abord cru à une «erreur» en entendant leur nom cité comme auteurs des attentats contre Charlie Hebdo. Une ambiguïté levée immédiatement lorsque les photos furent publiées dans les médias: l'éducatrice a tout de suite reconnu «leurs yeux». «Quel cauchemar», commente-t-elle. «C'étaient de bons enfants». Et de raconter les vacances au bord de la Méditerranée, Nike TN chaque été. Chérif était son favori, un «coquin», «qui n'a jamais rien fait de grave»: «je ne pouvais pas me mettre en colère contre lui».
La presse étrangère enquête massivement sur les attaques qui ont frappé la France entre le 7 et le 9 janvier. Alors que le New York Times a publié une vaste investigation sur l'itinéraire des frères Kouachi, auteurs de l'attaque à Charlie Hebdo, ces dix dernières années, Der Spiegel, qui a dépêché en France onze reporters, a retrouvé l'éducatrice qui s'est occupée des frères Kouachi durant plus de six ans entre 1994 et 2000 en Corrèze. L'hebdomadaire allemand publie des photos de leur jeunesse, et notamment un cliché de vacances à La Grande Motte.
La photo a été prise durant l'été 1994. Chérif et Saïd Kouachi sont alors âgés respectivement de 12 et 14 ans et ont une mère malade. Ils sont envoyés en Corrèze, au Centre des Monédières, tn pas cher un centre d'accueil financé par la Fondation Claude Pompidou. Ce centre deviendra leur seul foyer lorsque leur mère mourra (leur père est décédé quelques années auparavant). C'est dans le cadre de ce centre qu'ils sont allés passer des vacances au bord de la Méditerranée. Le Spiegel a retrouvé «Suzanne» qui a été leur éducatrice référente durant de nombreuses années. Elle raconte à l'hebdomadaire allemand avoir tout d'abord cru à une «erreur» en entendant leur nom cité comme auteurs des attentats contre Charlie Hebdo. Une ambiguïté levée immédiatement lorsque les photos furent publiées dans les médias: l'éducatrice a tout de suite reconnu «leurs yeux». «Quel cauchemar», commente-t-elle. «C'étaient de bons enfants». Et de raconter les vacances au bord de la Méditerranée, Nike TN chaque été. Chérif était son favori, un «coquin», «qui n'a jamais rien fait de grave»: «je ne pouvais pas me mettre en colère contre lui».
À 110 ans, le doyen des Français est décédé
Résident d'une maison de retraite à Saint-Etienne (Loire), Tn
Pas Cher Philippe Vocanson s'est éteint ce week-end. Prisonnier durant la Seconde guerre mondiale, il avait ensuite choisi le métier de cordonnier.
À 110 ans, il était le doyen des Français. Philippe Vocanson est décédé ce week-end à Saint-Étienne (Loire), dans la résidence Buisson, la maison de retraite où il résidait. Cet amateur de fromage et de chocolat (mais ne fumant et ne buvant pas) cumulait les sièges honorifiques de doyen des Français, depuis le 15 septembre 2013, et de doyen des Européens depuis le 25 septembre 2015.
Né en octobre 1904 à Pouzolles (Haute-Loire), Philippe Vocanson était issu d'une famille d'agriculteurs. C'est là qu'il avait commencé sa vie professionnelle, mais il n'était pas resté dans la ferme familiale très longtemps. Sa santé n'était pas très solide, et c'est, TN Requin de son propre aveu, ses parents qui l'avaient poussé à changer de voie. Le jeune homme avait donc choisi la cordonnerie et était parti s'installer à Lyon.
Prisonnier des Allemands, il s'évade
Il s'était formé dans la capitale des Gones et n'avait jamais changé de métier. Après Lyon, son parcours s'était poursuivi à Saint-Étienne, ou il s'était installé à son compte. Philippe Vocanson avait ouvert un atelier de cordonnerie rue des Deux-Amis. Il y restera pendant quarante ans, jusqu'à l'âge de la retraite.
Engagé dans l'armée en 1939, pendant la Seconde guerre mondiale, le caporal Vocanson, alors âgé de 35 ans, avait été fait prisonnier par les Allemands dans le nord de la France. Il était parvenu à s'évader, comme le raconte son petit-fils dans un entretien au Progrès en 2012 .
Un habitué des cérémonies
Philippe Vocanson avait rejoint la maison de retraite des Buissons, Nike TN à Saint-Étienne, en 1985, année où du décès de son épouse.
À 110 ans, il était le doyen des Français. Philippe Vocanson est décédé ce week-end à Saint-Étienne (Loire), dans la résidence Buisson, la maison de retraite où il résidait. Cet amateur de fromage et de chocolat (mais ne fumant et ne buvant pas) cumulait les sièges honorifiques de doyen des Français, depuis le 15 septembre 2013, et de doyen des Européens depuis le 25 septembre 2015.
Né en octobre 1904 à Pouzolles (Haute-Loire), Philippe Vocanson était issu d'une famille d'agriculteurs. C'est là qu'il avait commencé sa vie professionnelle, mais il n'était pas resté dans la ferme familiale très longtemps. Sa santé n'était pas très solide, et c'est, TN Requin de son propre aveu, ses parents qui l'avaient poussé à changer de voie. Le jeune homme avait donc choisi la cordonnerie et était parti s'installer à Lyon.
Prisonnier des Allemands, il s'évade
Il s'était formé dans la capitale des Gones et n'avait jamais changé de métier. Après Lyon, son parcours s'était poursuivi à Saint-Étienne, ou il s'était installé à son compte. Philippe Vocanson avait ouvert un atelier de cordonnerie rue des Deux-Amis. Il y restera pendant quarante ans, jusqu'à l'âge de la retraite.
Engagé dans l'armée en 1939, pendant la Seconde guerre mondiale, le caporal Vocanson, alors âgé de 35 ans, avait été fait prisonnier par les Allemands dans le nord de la France. Il était parvenu à s'évader, comme le raconte son petit-fils dans un entretien au Progrès en 2012 .
Un habitué des cérémonies
Philippe Vocanson avait rejoint la maison de retraite des Buissons, Nike TN à Saint-Étienne, en 1985, année où du décès de son épouse.
Un drone a survolé l'Élysée dans la nuit de jeudi à vendredi
L'engin, immédiatement repéré par les services Air
Max de police et de gendarmerie qui assurent la garde du palais présidentiel, s'est rapidement éloigné du bâtiment. Une enquête est en cours.
L'incursion aura duré quelques secondes. Dans la nuit de jeudi à vendredi, un drone a survolé l'Élysée, annonce mardi la présidence de la République. L'information avait été dévoilée dans la matinée par iTélé. Selon la chaîne, l'engin venait de la place Beauvau et a survolé le palais présidentiel par le mur ouest, côté rue de Miromesnil, avant de se diriger vers la place de la Concorde. Le drone a été «immédiatement repéré» par les policiers en faction et s'est tout de suite éloigné du bâtiment, assure l'Élysée.
Des investigations sont en cours pour retrouver son propriétaire. Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour «conduite d'un aéronef non conforme avec les règles de sécurité», indique une source judiciaire à l'AFP. Les investigations ont été confiées à la section de recherche de la gendarmerie des transports aériens. Mais la tâche du parquet s'annonce ardue. Nike Tn Requin Pas Cher Ces dernier mois, de nombreux survols de centrales nucléaires par des drones ont également été signalés, sans que l'on en détermine à ce jour l'origine.
D'autant que l'appareil n'a pu être intercepté. À en croire iTélé, le drone est «un engin de faible portée, téléguidé à distance réduite, trop léger pour transporter la moindre charge explosive mais pouvant être doté d'une caméra». Cet incident n'en révèle pas moins une faille de sécurité inquiétante, une semaine après les attentats qui ont ensanglanté Paris. «Les drones actuellement commercialisés n'ont ni une capacité de transport suffisante, ni la précision nécessaire pour attenter à la vie d'une personne, Nike Tn rassure Christophe Naudin, spécialiste de la sûreté aérienne. Mais la question devrait se poser.
L'incursion aura duré quelques secondes. Dans la nuit de jeudi à vendredi, un drone a survolé l'Élysée, annonce mardi la présidence de la République. L'information avait été dévoilée dans la matinée par iTélé. Selon la chaîne, l'engin venait de la place Beauvau et a survolé le palais présidentiel par le mur ouest, côté rue de Miromesnil, avant de se diriger vers la place de la Concorde. Le drone a été «immédiatement repéré» par les policiers en faction et s'est tout de suite éloigné du bâtiment, assure l'Élysée.
Des investigations sont en cours pour retrouver son propriétaire. Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour «conduite d'un aéronef non conforme avec les règles de sécurité», indique une source judiciaire à l'AFP. Les investigations ont été confiées à la section de recherche de la gendarmerie des transports aériens. Mais la tâche du parquet s'annonce ardue. Nike Tn Requin Pas Cher Ces dernier mois, de nombreux survols de centrales nucléaires par des drones ont également été signalés, sans que l'on en détermine à ce jour l'origine.
D'autant que l'appareil n'a pu être intercepté. À en croire iTélé, le drone est «un engin de faible portée, téléguidé à distance réduite, trop léger pour transporter la moindre charge explosive mais pouvant être doté d'une caméra». Cet incident n'en révèle pas moins une faille de sécurité inquiétante, une semaine après les attentats qui ont ensanglanté Paris. «Les drones actuellement commercialisés n'ont ni une capacité de transport suffisante, ni la précision nécessaire pour attenter à la vie d'une personne, Nike Tn rassure Christophe Naudin, spécialiste de la sûreté aérienne. Mais la question devrait se poser.
Amedy Coulibaly, ancien coach sportif «gentil» et «sympathique»
D'après Le Point, le tueur de l'Hyper Cacher de Nike TN
Requin Vincennes a été entraîneur dans une salle de fitness à Grigny, la ville où il a grandi. Des clientes se rappellent d'un homme agréable et respecté dans le quartier.
On connaissait son passé de prison, ainsi que sa visite à l'Élysée en présence de Nicolas Sarkozy. Après cela, Amedy Coulibaly, le tueur de Montrouge et de l'Hyper Cacher de Vincennes, a également été coach sportif dans la ville où il a passé son enfance, Grigny (91), d'après les informations du Point. L'hebdomadaire indique avoir rencontré d'anciennes clientes de la salle de fitness où le terroriste a été employé. Bien loin de l'image de terroriste, elles décrivent un homme «gentil», en qui elles avaient confiance.
Les deux clientes interrogées sont entrées pour la première fois dans la salle de sport en 2009. À la recherche d'informations sur les tarifs et conditions, elles rencontrent un homme «souriant», Nike Tn Requn Pas Cher comme elles l'expliquent au Point. «Amedy» est très cordial et sympathise avec celles qui deviendront clientes. L'accueil chaleureux de cet homme «gentil» et «sympathique» leur plaît: Amedy Coulibaly leur fait visiter les lieux, leur offre un café et leur présente plusieurs offres promotionnelles.
«Ces jeunes le respectaient»
Seule hésitation pour les deux femmes: la présence de jeunes de la cité à proximité, celle de la Grande Borne, où a grandi Amedy Coulibaly. Cela les inquiète. Une crainte aussitôt rassurée: «Il a promis que personne ne viendrait nous embêter durant nos séances», se souvient la cliente. «Il m'a dit: “Si t'as une galère, je suis là!”»
Une autre cliente confirme combien Amedy Coulibaly était connu dans le quartier. Un jour, des clients ont abîmé du matériel. Le coach, Nike TN Pas Cher également animateur et commercial, est intervenu.
On connaissait son passé de prison, ainsi que sa visite à l'Élysée en présence de Nicolas Sarkozy. Après cela, Amedy Coulibaly, le tueur de Montrouge et de l'Hyper Cacher de Vincennes, a également été coach sportif dans la ville où il a passé son enfance, Grigny (91), d'après les informations du Point. L'hebdomadaire indique avoir rencontré d'anciennes clientes de la salle de fitness où le terroriste a été employé. Bien loin de l'image de terroriste, elles décrivent un homme «gentil», en qui elles avaient confiance.
Les deux clientes interrogées sont entrées pour la première fois dans la salle de sport en 2009. À la recherche d'informations sur les tarifs et conditions, elles rencontrent un homme «souriant», Nike Tn Requn Pas Cher comme elles l'expliquent au Point. «Amedy» est très cordial et sympathise avec celles qui deviendront clientes. L'accueil chaleureux de cet homme «gentil» et «sympathique» leur plaît: Amedy Coulibaly leur fait visiter les lieux, leur offre un café et leur présente plusieurs offres promotionnelles.
«Ces jeunes le respectaient»
Seule hésitation pour les deux femmes: la présence de jeunes de la cité à proximité, celle de la Grande Borne, où a grandi Amedy Coulibaly. Cela les inquiète. Une crainte aussitôt rassurée: «Il a promis que personne ne viendrait nous embêter durant nos séances», se souvient la cliente. «Il m'a dit: “Si t'as une galère, je suis là!”»
Une autre cliente confirme combien Amedy Coulibaly était connu dans le quartier. Un jour, des clients ont abîmé du matériel. Le coach, Nike TN Pas Cher également animateur et commercial, est intervenu.
Cinq Russes arrêtés à Béziers en possession de dangereux explosifs
Inconnus des services antiterroristes, les cinq hommes, Nike Requin originaires de Tchétchénie, étaient en possession de dangereux explosifs. Les enquêteurs s'orienteraient plutôt vers la piste du grand banditisme.
Cinq Russes, originaires de Tchétchénie ont été interpellés lundi soir à Béziers et Saint-Jean-de-Védas (Hérault). Une personne a été interpellée dans le quartier de Sauclières, non loin de l'ancien stade de rugby de Béziers, les quatre autres à Saint-Jean-de-Védas, commune jouxtant Montpellier, a indiqué une source proche du dossier. Les cinq suspects ont été placés en garde à vue et des perquisitions ont eu lieu, a-t-on précisé de même source. D'après BFMTV les suspects seraient âgés de 24 à 37 ans.
«Pas de contexte religieux»
Inconnus des services antiterroristes, les TN Requin suspects sont en revanche bien connus de la police pour des vols à l'étalage, vols violents et divers faits de droit commun. «La préparation d'un attentat n'est pas du tout établie pour le moment. L'enquête n'en est qu'à son début et d'autres personnes peuvent être interpellées», a expliqué au cours d'une conférence de presse le procureur de la République de Béziers, Yvon Calvet. «C'est une affaire qui n'a pas de connotation religieuse, mais c'est du grand banditisme. Le parquet antiterroriste n'a pas été saisi», a ajouté M. Calvet, précisant que «de dangereux explosifs avaient été découverts». Dans une cache, les enquêteurs ont retrouvé 100 grammes de TATP (péroxyde d'acétone), un explosif utilisé lors de l'attentat du marathon de Boston.
L'une des personnes interpellées habite Béziers et une autre «probablement» à Montpellier, a expliqué le magistrat. Les Nike TN enquêteurs s'efforcent en outre de trouver les adresses des trois autres suspects placés en garde à vue. Selon une information révélée par Midi.
Cinq Russes, originaires de Tchétchénie ont été interpellés lundi soir à Béziers et Saint-Jean-de-Védas (Hérault). Une personne a été interpellée dans le quartier de Sauclières, non loin de l'ancien stade de rugby de Béziers, les quatre autres à Saint-Jean-de-Védas, commune jouxtant Montpellier, a indiqué une source proche du dossier. Les cinq suspects ont été placés en garde à vue et des perquisitions ont eu lieu, a-t-on précisé de même source. D'après BFMTV les suspects seraient âgés de 24 à 37 ans.
«Pas de contexte religieux»
Inconnus des services antiterroristes, les TN Requin suspects sont en revanche bien connus de la police pour des vols à l'étalage, vols violents et divers faits de droit commun. «La préparation d'un attentat n'est pas du tout établie pour le moment. L'enquête n'en est qu'à son début et d'autres personnes peuvent être interpellées», a expliqué au cours d'une conférence de presse le procureur de la République de Béziers, Yvon Calvet. «C'est une affaire qui n'a pas de connotation religieuse, mais c'est du grand banditisme. Le parquet antiterroriste n'a pas été saisi», a ajouté M. Calvet, précisant que «de dangereux explosifs avaient été découverts». Dans une cache, les enquêteurs ont retrouvé 100 grammes de TATP (péroxyde d'acétone), un explosif utilisé lors de l'attentat du marathon de Boston.
L'une des personnes interpellées habite Béziers et une autre «probablement» à Montpellier, a expliqué le magistrat. Les Nike TN enquêteurs s'efforcent en outre de trouver les adresses des trois autres suspects placés en garde à vue. Selon une information révélée par Midi.
Les Français très largement pour la livraison des Mistral à la Russie
Alors que le sort des deux navires Nike Tn
Pas Cher empoisonne les relations franco-russes, le choix de François Hollande de reporter la livraison des navires est mal comprise des Français, selon un sondage.
La Tribune publie mardi un sondage Ifop sur le sujet controversé de la livraison des Bâtiments de projection et de commandement (BPC) Mistral à la Russie. À la question de savoir si la France doit les livrer, les Français sondés répondent oui à 64%, contre 36% d'un avis contraire. Une opinion renforcée par le fait que 75% des personnes interrogées jugent que le refus de livrer les bâtiments «pas du tout efficace pour régler le conflit entre l'Ukraine et la Russie».
La France a, pour l'instant, par la voix de François Hollande, reporté fin novembre et «jusqu'à nouvel ordre» la livraison du premier Mistral, le Vladivostok, à la marine russe. La Tn Nike décision de livrer ou pas les navires est liée au rôle de la Russie dans la crise ukrainienne, Moscou étant accusée de jeter de l'huile sur le feu.
Les Français semblent donc en contradiction avec la ligne ferme défendue par leur diplomatie, et, comme le relève La Tribune, font preuve «de beaucoup de realpolitik». Car la crainte majeure concerne les conséquences - négatives - que pourrait avoir la décision française de reporter les livraisons. 72% des sondés pensent en effet que cela va nuire à l'industrie de défense française, en mettant en danger d'autres contrats commerciaux (l'exportation d'armement représentait 6,3 milliards d'euros en 2013), Nike Tn favoriser ses concurrents et nuire à l'image du pays. Un argumentaire défendu par les représentants politiques favorables à la livraison.
La Tribune publie mardi un sondage Ifop sur le sujet controversé de la livraison des Bâtiments de projection et de commandement (BPC) Mistral à la Russie. À la question de savoir si la France doit les livrer, les Français sondés répondent oui à 64%, contre 36% d'un avis contraire. Une opinion renforcée par le fait que 75% des personnes interrogées jugent que le refus de livrer les bâtiments «pas du tout efficace pour régler le conflit entre l'Ukraine et la Russie».
La France a, pour l'instant, par la voix de François Hollande, reporté fin novembre et «jusqu'à nouvel ordre» la livraison du premier Mistral, le Vladivostok, à la marine russe. La Tn Nike décision de livrer ou pas les navires est liée au rôle de la Russie dans la crise ukrainienne, Moscou étant accusée de jeter de l'huile sur le feu.
Les Français semblent donc en contradiction avec la ligne ferme défendue par leur diplomatie, et, comme le relève La Tribune, font preuve «de beaucoup de realpolitik». Car la crainte majeure concerne les conséquences - négatives - que pourrait avoir la décision française de reporter les livraisons. 72% des sondés pensent en effet que cela va nuire à l'industrie de défense française, en mettant en danger d'autres contrats commerciaux (l'exportation d'armement représentait 6,3 milliards d'euros en 2013), Nike Tn favoriser ses concurrents et nuire à l'image du pays. Un argumentaire défendu par les représentants politiques favorables à la livraison.
L'enfer pour les homonymes des Kouachi et Coulibaly depuis les attentats
De nombreuses familles portent le même nom Cheap
Jordan Shoes que les trois terroristes, Amedy Coulibaly et les frères Saïd et Chérif Kouachi. Depuis les attentats, plusieurs d'entres elles font l'objet d'insultes, d'intimidations et même de menaces de mort.
Ils s'appellent Kouachi ou Coulibaly et leur nom de famille est désormais associé à celui des trois terroristes qui ont tué 17 personnes début janvier. Depuis les attentats de Charlie Hebdo, leur quotidien a changé. Appels en plein milieu de la nuit, insultes, menaces de mort, des familles entières se sont retrouvées «prisonnières» de leur nom, sans cesse contraintes de se justifier. «On a rien à voir avec lui», répète inlassablement Mme Coulibaly* au téléphone. «Je n'arrête pas de le dire, mon mari s'appelle Amedy Coulibaly comme le terroriste, mais on ne le connaît pas, on est pas du tout de la même famille». Depuis l'attaque à Charlie Hebdo, sa famille originaire de Mauritanie a reçu des dizaines d'appels menaçants. Parfois en pleine nuit, vers deux-trois heures du matin. «Des gens appellent, on répond mais personne ne parle au bout du fil, il y a un grand silence, c'est hyper angoissant», raconte cette mère de quatre enfants, qui vit dans les Hauts-de-Seine. Depuis, son époux a déposé une main courante pour signaler ces cas de harcèlement.
En Indre-et-Loire, une autre mère de famille semble excédée au bout du fil. «Oui, on porte le même nom que les frères Kouachi, mais c'est tout, on a rien à voir avec eux», soupire-t-elle. La gorge nouée, elle raconte que ses enfants ont été harcelés à l'école, Nike Free dès le jeudi 8 janvier au matin, au lendemain de la tuerie à Charlie hebdo. «On a commencé à les insulter, on a traité mon fils de terroriste au collège, pareil pour ma fille au lycée», raconte-t-elle, écoeurée. «Le soir, en retrant à la maison, ils n'étaient pas bien, alors j'ai décidé.
Ils s'appellent Kouachi ou Coulibaly et leur nom de famille est désormais associé à celui des trois terroristes qui ont tué 17 personnes début janvier. Depuis les attentats de Charlie Hebdo, leur quotidien a changé. Appels en plein milieu de la nuit, insultes, menaces de mort, des familles entières se sont retrouvées «prisonnières» de leur nom, sans cesse contraintes de se justifier. «On a rien à voir avec lui», répète inlassablement Mme Coulibaly* au téléphone. «Je n'arrête pas de le dire, mon mari s'appelle Amedy Coulibaly comme le terroriste, mais on ne le connaît pas, on est pas du tout de la même famille». Depuis l'attaque à Charlie Hebdo, sa famille originaire de Mauritanie a reçu des dizaines d'appels menaçants. Parfois en pleine nuit, vers deux-trois heures du matin. «Des gens appellent, on répond mais personne ne parle au bout du fil, il y a un grand silence, c'est hyper angoissant», raconte cette mère de quatre enfants, qui vit dans les Hauts-de-Seine. Depuis, son époux a déposé une main courante pour signaler ces cas de harcèlement.
En Indre-et-Loire, une autre mère de famille semble excédée au bout du fil. «Oui, on porte le même nom que les frères Kouachi, mais c'est tout, on a rien à voir avec eux», soupire-t-elle. La gorge nouée, elle raconte que ses enfants ont été harcelés à l'école, Nike Free dès le jeudi 8 janvier au matin, au lendemain de la tuerie à Charlie hebdo. «On a commencé à les insulter, on a traité mon fils de terroriste au collège, pareil pour ma fille au lycée», raconte-t-elle, écoeurée. «Le soir, en retrant à la maison, ils n'étaient pas bien, alors j'ai décidé.
Un agent de sûreté aéroportuaire condamné pour apologie du terrorisme
Ce trentenaire, qui travaillait à l'aéroport de Bottes
timberland Marseille-Marignane, a été condamné à deux ans de prison ferme en comparution immédiate.
Deux ans ferme. C'est la peine de prison prononcée lundi par le tribunal correctionnel de Marseille à l'encontre de Glen, un agent de sureté en poste à l'aéroport de Marseille-Marignane, pour apologie du terrorisme. Interpellé la semaine dernière suite à des propos tenus sur son compte Facebook, ce trentenaire était préposé à la surveillance des voyageurs au niveau des portiques de sécurité avant leur embarquement. De nationalité française, comme le requiert sa profession, le jeune homme s'est présenté comme «converti à l'Islam» aux hommes de la police aux frontières (PAF), qui l'ont interpellé.
«Cet individu n'était pas surveillé particulièrement, mais ces professions font l'objet d'attention», explique Thierry Assanelli, Nike TN directeur zonal de la PAF Sud. «Nous avons nos propres informateurs qui ont attiré notre attention. Sur son compte Facebook, il a, suite aux attentats de la semaine dernière, parlé de «services de police racistes», faisant au passage preuve d'une compassion énorme avec les terroristes.» Occultant les assassinats, Glen aurait en outre, évoqué «un règlement de compte de la police contre l'islam», poursuit le policier.
Signalés dès le 14 janvier, ces propos ont déclenché une enquête du TGI d'Aix-en-Provence entraînant une arrestation de l'individu dès le lendemain. Déféré le 17 janvier devant le procureur de Marseille, l'homme a été jugé dès lundi et condamné à deux ans de prison ferme. Une peine qu'il purge aux Baumettes. Avant même le jugement, l'autorisation d'accès de Glen à l'aéroport, ainsi que son agrément préfectoral d'agent de sûreté aéroportuaire, Nike Ninja lui avaient été retirés. Selon l'article 421-2-5 du Code pénal.
Deux ans ferme. C'est la peine de prison prononcée lundi par le tribunal correctionnel de Marseille à l'encontre de Glen, un agent de sureté en poste à l'aéroport de Marseille-Marignane, pour apologie du terrorisme. Interpellé la semaine dernière suite à des propos tenus sur son compte Facebook, ce trentenaire était préposé à la surveillance des voyageurs au niveau des portiques de sécurité avant leur embarquement. De nationalité française, comme le requiert sa profession, le jeune homme s'est présenté comme «converti à l'Islam» aux hommes de la police aux frontières (PAF), qui l'ont interpellé.
«Cet individu n'était pas surveillé particulièrement, mais ces professions font l'objet d'attention», explique Thierry Assanelli, Nike TN directeur zonal de la PAF Sud. «Nous avons nos propres informateurs qui ont attiré notre attention. Sur son compte Facebook, il a, suite aux attentats de la semaine dernière, parlé de «services de police racistes», faisant au passage preuve d'une compassion énorme avec les terroristes.» Occultant les assassinats, Glen aurait en outre, évoqué «un règlement de compte de la police contre l'islam», poursuit le policier.
Signalés dès le 14 janvier, ces propos ont déclenché une enquête du TGI d'Aix-en-Provence entraînant une arrestation de l'individu dès le lendemain. Déféré le 17 janvier devant le procureur de Marseille, l'homme a été jugé dès lundi et condamné à deux ans de prison ferme. Une peine qu'il purge aux Baumettes. Avant même le jugement, l'autorisation d'accès de Glen à l'aéroport, ainsi que son agrément préfectoral d'agent de sûreté aéroportuaire, Nike Ninja lui avaient été retirés. Selon l'article 421-2-5 du Code pénal.
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